La compétition pour tout le monde : débuter

avec 10 commentaires

Je vous présente un article différent des autres sur son approche. J’y exprime mes avis et mets de côté la théorie, enfin presque. Je vous dépose mes opinions positives sur l’accès à la compétition de distance en parapente.
Personnellement, le terme ”accès” ne me semblerait guère approprié, j’utiliserais le mot ”approche”. En employant accès, j’y vois une porte qui, selon le regard de chacun, semble ouverte, fermée voir entrouverte. Cette vision ne plaît pas si l’on souhaite aborder la compétition tel qu’un évènement où chacun peut s’y rendre. Par contre, je pense que la compétition est ouverte pour toutes et tous, quelque soit son âge, son niveau, sa catégorie sociale, son matériel (homologué) et ce qu’on y recherche. La compétition ouvre sa porte grande ouverte à tous les curieux.

(Je me concentrerai uniquement sur la course au but/Race to goal, épreuve la plus courante. Si vous débutez, les compétitions accessible sont celles de catégorie amicale, loisir et sport)

Chacun a ses propres raisons de se rendre à une compétition quelque soit l’activité pratiquée. Nous pouvons y chercher le développement de sa confiance, la gestion des émotions, l’amélioration de sa pratique, l’élargissement de notre cercle social… Il y a beaucoup de bonnes raisons de s’y lancer. Les compétitions mêlent une ambiance festive, de bonne humeur et de convivialité.

Ici, mon souhait est de dédramatiser ses débuts en compétition, d’autant plus qu’elle apporte beaucoup de bienfaits lorsqu’elle est pratiquée. Avant de stopper votre lecture par un manque d’envie, bannissez toutes les idées péjoratives.
La compétition n’appartient guère à un “cercle” car chacun a à apprendre de l’autre, du débutant au confirmé et réciproquement. Parce que le milieu dans lequel nous évoluons nous enseignera sans cesse des notions tout au long de notre parcours de pilote.
Il ne faut pas définir la compétition de distance comme insurmontable, au contraire !
Sachez que si vous êtes tentés de pratiquer une activité, n’attendez pas le regret. Et celle dont on parle ici, mérite son entière attention car elle peut se débuter à tout moment de notre vie. Il n’y a pas d’âge pour faire des exploits !
La compétition de distance permet de vivre de merveilleux moments. Ces moments me semblent plus jouissifs qu’une simple victoire pour de multiples raisons tels que le partage, la convivialité, la progression.

Je compare une compétition à une école du vol, dans laquelle vous croiserez des profils de tout horizon. Vous y serez systématiquement bien entourés. Les organisateurs ont connaissance des nouveaux pilotes et n’hésiteront pas à donner de leur temps pour vous accompagner et vous donner confiance.
En complément de l’expérience des organisateurs, une compétition comprend souvent des pilotes et accompagnants connaissant les lieux où s’organisent les manches. Ils répondront avec plaisir à vos questions.

Une compétition se découpe en plusieurs phases, dont les principales sont les briefings, le vol et le pointage sécurité.

Au briefing, l’organisation s’engage à donner toutes les informations indispensables pour le bon déroulement de la journée. Pour cela, ils vous présenteront en général :

  • les subtilités du site de vol incluant le décollage et l’atterrissage
  • les espaces aériens de la zone dans laquelle vous évoluerez
  • l’aérologie du site accompagnée de recommandations
  • la présence de dangers sachant que l’organisation évitera de vous y amener
  • la météo annoncée
  • une explication du circuit de la manche accompagnée de conseils

Si vous n’avez pas tous les éléments ci-dessus, pas de panique ! Rapprochez vous simplement de l’organisation ou des pilotes.
De plus, l’organisation est composée d’un comité de pilote qui pourra vous répondre. Ce comité s’assure du respect des règles de sécurité.
La rencontre d’autres pilotes est également très intéressante pour partager ses points de vues et ses différentes observations. Ces échanges sont constructifs à condition de savoir prendre du recul.


Certains pilotes habitués auront préparé leur journée afin d’arriver sur le site avec le moins d’inconnus, permettant d’être plus concentré sur son objectif.
Je vous encourage de suivre le chemin suivant :

  • consultez la topographie du site (Google Map, Geoportail, IGN)
  • parcourez les forums internet, les sites des clubs et écoles locaux, la carte des sites de vols sur la page internet de la FFVL où vous y trouverez des informations intéressantes
  • analysez les prévisions météorologiques (vents au différentes altitudes, degrés d’instabilité, couverture nuageuse, humidité etc.).
  • analyser les anciennes compétitions dont les traces sont partagés

Et si vos analyses ne sont pas pointues, elles se développeront avec l’expérience.

Au briefing, la localisation des balises et de la route (cheminements et transitions) vous seront montrées si la vue depuis le décollage le permet. Et je le répète, posez des questions si vous estimez ne pas avoir toutes vos réponses ! Il n’y en a ni de mauvaises, ni de bonnes.


La manche sera affichée sur un tableau mettant à votre disposition le parcours à programmer sur votre instrument de vol.
Il existe différents appareils sur le marché. Si vous détenez un smartphone avec GPS intégré, l’installation de XCtrack pourra suffire. Il s’agit d’une application Android gratuite et entièrement personnalisable, dont vous trouverez un tutoriel sur la page ICI. Un fichier de configuration préprogrammé y est disponible.
Si vous êtes expérimentés, crosseurs réguliers, vous achèterez sans doute du matériel pour mieux répondre à vos attentes.
Pour ne par être déborder lors de votre première compétition, il est très important de vous familiariser avec votre nouvel instrument de vol avant le jour de l’évènement.
Sur Xctrack, vous pouvez créer vos balises intuitivement en naviguant sur la carte (voir tuto).
Créez quelques balises et entrainez-vous à programmer une manche fictive. Un décollage, un START, une balise, une section de fin des temps (ESS : End Speed Section) et un GOAL seront amplement suffisants. Vous pourrez vous amuser en augmentant le nombre de balises à franchir par la suite.
Testez en vol ou, si les conditions de vol sont inappropriées et que vous devez faire des courses, créer des balises sur votre route, cela vous donnera un bon aperçu du comportement de votre instrument.
Cependant, il ne serait pas étonnant que vous ne soyez pas à l’aise avec votre appareil du premier coup, il n’y a rien d’alarmant. Sur une compétition, beaucoup de participants utilisent le même instrument et s’entraident en cas de problème d’utilisation et d’incompréhension.
De plus, si vous optez pour l’application Xctrack, vous pourrez télécharger la manche sous forme de fichier ou de QRcode. Si vous ne parvenez pas à la programmer correctement, demandez à un pilote de vous partager la manche.

Au cours du vol, vous avez de fortes chances d’évoluer en groupe. Il est essentiel de surveiller ce qui se passe tout autour de vous pour différentes raisons.

Pour faire un bon START, l’idéal serait de le franchir au plus proche de son heure. Trouvez le thermique le plus proche possible de la zone de START, faîtes le plafond et commencez votre course le plus haut possible. Vous partirez confiant.

En décollant tôt, si les conditions aérologiques (instabilité) vous permettent de rester en l’air facilement, vous préparerez mieux votre START. Cela vous donnera du temps pour vous acclimater et pour comprendre les conditions du jour.
Au cours de l’année, si vous participez à plusieurs compétitions de distance, vos vols antérieurs vous aideront de plus en plus sur les choix à prendre. Les erreurs et les bonnes options complètera votre bible du tacticien.
L’essentiel à retenir, lorsque vous participerez à vos premières courses, est de boucler !
Vous prendrez beaucoup de plaisir et malgré un manque d’utilisation de votre accélérateur, vous pourriez tout de même être en tête de classement. La patience est un atout considérable dans cette pratique. Une trop grande utilisation de l’accélérateur en conditions plutôt stable, par exemple, pourrait vous entraîner à la vache. Toutefois, si d’excellentes conditions s’offrent à vous, une utilisation efficace de l’accélérateur permettrait d’augmenter votre vitesse moyenne. Cette formulation est un peu grossière, il faut savoir assimiler les bonnes données et les exploiter pour construire un vol performant. Mais restons à l’essentiel, nous voulons nous amuser et progresser petit à petit. Par contre, si vous êtes un crosseur chevronné, vous accèderez à la compétitions avec plus d’outils grâce à votre expérience. Et inversement, la compétition vous aidera beaucoup pour vos futurs cross.

Quand vous débuterez la compétition de distance, boucler une course quelque soit le temps mis vous procurera une très grande satisfaction ! Votre but étant d’arriver au goal.

Il vous arrivera également de ne pas boucler, cela fait parti de l’apprentissage dans le cursus du pilote. Ces instants sont très intéressants car ils vous permettront de ne pas les reproduire à l’identique. Ils vous serviront d’exemple.
Je vous conseille, à chaque fin de vol, de prendre note sur un carnet vos vols accompagnés d’analyses.
Plus communément appelé RETEX pour RETour d’EXpérience, il vous servira beaucoup à votre progression.
Dans ce précieux carnet, vous pourrez par exemple :

  • inscrire des tactiques et des stratégies utilisées ou à aborder en fonction de différentes situations,
  • reconstruire un plan de vol mieux pensé à partir d’une manche antérieure. Posez-vous des questions : ”Qu’elle alternative à cet itinéraire ?” ”Quelle autre route était possible ?” ”Valait t’il le coup d’enrouler ce thermique ?” etc.
  • les comportements à adopter en fonction de la météo, du lieux, de votre altitude, de la direction du vent
  • prendre un mauvais exemple et écrire les raisons de ne pas le reproduire
  • prendre un bon exemple et le décrire (exemple : vous réussissez à rattraper des pilotes)

Ce carnet permettra non seulement de vous remémorer vos vols et de développer votre esprit d’analyse. Et grâce à ces éléments, vous serez mieux ordonnés en vol et mieux fixés sur l’essentiel. Dans vos débuts, vous serez sans doute ”submergés” d’informations et avec l’expérience, vous apprendrez à les sélectionner et les utiliser à bon escient. Votre route sera plus claire et plus organisée dans vos pensées.

En vol, analysez les indices vous entourant pour comprendre les démarches d’autres pilotes et pour vous construire un plan de vol.
Quelle cheminement, quelle transition ? Observez les pilotes tout autour de votre position. Bien observer les lignes des autres pilotes et les endroits de remontée possible affineront votre plan de vol. Et prenez garde aux attaquants ! Ils peuvent prendre des risques mesurés que vous ne saurez peut-être pas appréhender. De même, faîtes attention aux performances des ailes de catégorie supérieure que vous tenterez de suivre. Vous risqueriez de finir plus bas en bout de transition.
En suivant derrière le groupe de tête, les conditions rencontrées pourront être différentes après le passage de ce dernier. Vous pouvez vous retrouver hors cycle, avec un vent de plus en plus soutenu etc. A l’inverse, les conditions peuvent s’améliorer et votre vol se passera mieux que ceux vous devançant. Tout est dans l’analyse, que vous forgerez au fil du temps. Toutes ces expériences vous serviront pour d’autres vols !


Par contre, les choix vous appartiennent. Restez maître de votre destin, vous êtes le commandant de bord. Si un passage de la course vous déplaît, contournez le. Plus vous serez confiant, meilleure sera votre concentration, et plus vous y prendrez du plaisir.

Au fil des manches, vous progresserez quelque soit vos résultats. La progression sera toujours présente mais sous différentes formes plus ou moins perceptibles.
Dans une compétition, vous souhaitez découvrir de nouveaux horizons, voler avec des copains, vous amuser tout simplement.
Il n’y a pas de matériel ”sophistiqué” à détenir pour s’éclater. Vous pouvez prendre beaucoup de plaisir avec une aile de catégorie B par exemple, avec une sellette assise, et pas forcément le matériel dernier cri !
Il n’est pas rare de voir des pilotes volant avec une aile ”intermédiaire” finissant une course devant des ”guns”. J’ai énormément d’admiration pour ces pilotes. A titre d’exemple, vous volerez mieux avec une aile en B que vous connaissez à 100% qu’avec une aile en C que vous connaitrez à moité. Et si votre sens de l’analyse est affûté, cet atout pourra être plus efficace que de voler sous une aile performante sans une analyse accrue.
Notre milieu connaît sans aucun doute d’excellents pilotes qui peuvent faire de très belles carrières en compétition, quelque soit sa provenance. Ces pilotes peuvent se contenter de vols en local, de petits cross et ils se font suffisamment plaisir. En goûtant à la compétition et en bannissant les aprioris, ils attraperaient sans doute le virus et affûteraient leur plaisir.
Je l’ai développé jusqu’à cette ligne, la compétition est une magnifique école de la vie, du pilotage, de l’analyse, de l’approche du cross et j’en passe. La compétition est faite pour tout le monde. (Le cross permet également de mieux appréhender la compétition)

La sécurité est le point crucial pour passer un merveilleux moment.
Une compétition est organisée avec un maximum de sécurité. Une manche ne peut-être lancée si les conditions ne s’y prêtent guère. De même, si vous ne vous sentez pas confiant, il n’y a pas pire que de suivre comme un mouton. C’est une grossière erreur de se dire ”il décolle donc je décolle”. Ecoutez-vous et fiez vous à VOS impressions.
L’obligation de la radio vous permettra d’obtenir des informations en temps réel. En effet, en compétition, nous employons des ”niveaux de sécurité”. Ils peuvent être donnés à tout moment et par tous les participants, et aide l’organisation à prendre une décision sur le maintien d’une manche par exemple.

Les niveaux de sécurité sont au nombre de 3.
1 : les conditions sont bonnes et propices au vol en sécurité
2 : les conditions sont fortes mais encore acceptable
3 : les conditions sont trop fortes et incompatibles avec le vol en sécurité
Vous retrouverez toutes ces informations dans les documents téléchargeables sur le site de la fédération française de vol libre (voir plus bas).

Pour bien vivre sa compétition, 3 mots clefs vous sera utile : Patience, Plafond, Prudence.
→ La patience pour ne pas foncer sans réfléchir, pour ne pas louper de bonnes occasions, pour bien optimiser le thermique, pour bien construire son plan de vol…
→ Le plafond est gage de sécurité et de grande distance de plané.
→ La prudence vous mettra en sécurité, elle reposera essentiellement sur l’analyse et les conseils qui vous seront donnés.

Notons que nous sommes dans une démarche de découverte et d’appréhension de la compétition. La performance se développera au fur et à mesure que vous participerez aux différentes manches.

Toutes les informations relatives à la compétition sont téléchargeable sur les lien suivant :
Cahier du compétiteur
Règlement compétition de distance


En général, les compétitions de distance se ressemblent. Voici une journée type :

8H00 – Accueil :
validation des inscriptions ou inscription sur place, petit déjeuner de bienvenue et fourniture du repas du midi (sandwich, boisson…)
10H00 – Briefing général :
élection du comité de pilote, organisation de la navette ou heure de rendez-vous au décollage, présentation globale de la journée et de l’ensemble de la compétition
10H30 – En route vers le décollage
11H30 – Briefing : informations sur le site de vol, point météo, détails de la manche, rappels de sécurité et autres

1 : horaires d’ouverture du décollage, de sa fermeture, du START, de la fin de manche
2 : balises traçant le circuit
3 : pointage sécurité, fréquences radio (récupération, sécurité), numéros de téléphone (comité de pilote, pointage, organisation…)
4 : tracé de la manche sur plan
5 : type de course (la plus courante étant la course au but)
6 : sens de rotation dans le thermique avant le START
12H30 – Ouverture de la fenêtre de décollage :
C’est à partir de ce moment que vous pouvez décoller. Une heure de fermeture de la fenêtre de décollage est définit lors du briefing.
Avant le START, tout le monde tourne dans le même sens dans le thermique.
Jour pair, on tourne à droite
Jour impaire, on tourne à gauche
13H30 – Ouverture du START :
Pour valider son départ, la balise de START doit être atteinte dans le sens indiqué lors du briefing.
START en ENTRÉE = OUT / IN

START en SORTIE = IN / OUT

Manche
16H00 – Franchissement de l’End Speed Section ESS :
Balise à franchir pour mettre fin au temps qui déterminera le temps mis pour boucler le circuit et le classement en conséquence. C’est la dernière balise avant le Goal. Assurez-vous de bien atterrir au Goal pour valider votre manche !
16H10 – Atterrissage au Goal :
Il s’agit de la dernière balise. Le principal est de la rejoindre avant l’heure de fermeture de la manche donnée lors du briefing.
16H25 – Pointage sécurité et déchargement du GPS :
Si vous n’arrivez pas au goal, faîtes le pointage sécurité via les différents moyens possibles et donnés lors du briefing (sms, en ligne via la ffvl, radio…).
Annoncez votre position, on vous ramènera au PC course.
Si vous bouclez, félicitations ! Allez au PC course pour annoncer votre présence (pointage sécurité) et déchargez votre GPS.
17H00 – Fermeture de la manche
18H00 – Debriefing  :
Annonce des résultats, échanges sur la journée et annonces pour les jours suivants.
19H00 – Apéro et barbecue !


Avant de participer à une compétition, assurez-vous de respectez les points principaux suivant (Cf documentation FFVL) :

  • Brevet de pilote confirmé sauf pour les compétitions amicales
  • certificat médical mentionnant le parapente en compétition. Il est à renouveler tous les ans
  • Carte compétiteur FFVL (15€)
  • aile + selette + secours homologuée CEN ou LFT (DVH) + casque (EN-966)
  • GPS enregistrant la trace du vol
  • Radio VHF (136-156 Mhz)
  • Téléphone portable (sécurité)

Faîtes vous plaisir en compétition, c’est avant tout un rassemblement convivial. Vous ne serez pas le seul débutant, restez maître de vos choix pour assurer votre sécurité et votre plaisir.
Dans cet article, nous nous sommes approchés de la compétitions de façon à bien l’aborder. L’essentiel est de dédramatiser et de prendre confiance en vous.
C’est un sujet très vaste qui nécessiterait sûrement d’autres articles plus attachés à la performance en vol ou à la préparation par exemple. Lisez, informez-vous et vous vous construirez petit à petit.
Si des précisions importantes doivent être apportés, n’hésitez pas à m’en faire la demande, j’y répondrai avec plaisir.

10 réponses

  1. Lepeytre
    | Répondre

    Excellent article , effectivement ça donne envie!

    • RoRo
      | Répondre

      Tant mieux alors ! Si t’as des questions particulières, elles seront les bienvenues 😉

      • Lepeytre
        | Répondre

        J ai un air 3 , y a-t-il des exemples de compétitions à télécharger ( balise) ?
        Y a til possibilité d avoir une configuration idéal pour xc track ou celle proposé va bien ?

    • Lepeytre
      | Répondre

      Ça y est je pense me lancer cette année dans la compète, un peu inquiet quand même, à moulis, dans les Pyrénées
      Une petite question, dois ton passer par une primocompetition( à priori certain club organisé ce type d événement) ou peut on aborder une compétition sport? Doit on avertir l’orga du fait que l on soit débutant compétiteur
      Merci à toi pour toutes ces infos precieuses

  2. Rhum
    | Répondre

    Merci pour cet article. Je commence la compétition cette année et ton contenu est précieux.
    Le meilleur pour la suite et ta nouvelle aventure pro !
    A+

    • RoRo
      | Répondre

      Merci à toi et bonne saison 😉
      Désolé pour la réponse tardive, j’ai eu beaucoup d’évènements ces derniers temps.

  3. François
    | Répondre

    1ère compétition dans 2 semaines, merci pour ces infos bien utiles, c’est à la fois clair et précis.

    • RoRo
      | Répondre

      Amuse-toi bien !

  4. Pascal
    | Répondre

    Bonjour,je m’appelle Pascal j’ai 56 ans .
    Je vol depuis 1989 modestement en local j’ai repris l’activité plus intensément la saison dernière .
    Je me pose la question de faire un peu de compétition pour découvrir d’autres horizons avec l’objectif éventuel de devenir moniteur.
    Suis je trop vieux peut-être que se projet doit rester au stade de rêve.
    Je m’interroge ?est-ce que cela a vraiment dû sens?
    Merci de me donner un avis.
    Bonne journée
    Pascal

    • RoRo
      | Répondre

      Bonjour Pascal,
      Je ne pense pas qu’il y a d’âge “idéal” pour devenir moniteur. De plus, en fonction de l’âge, nous n’avons pas le même recul sur l’activité ce qui est intéressant pour avancer et progresser dans le métier de moniteur. Si c’est ton rêve, fonce car il n’y a pas pire que de regretter… De plus, la formation de moniteur de parapente permet également d’en apprendre plus sur soi-même et sur sa pratique. Le principal est d’être en bonne forme physique et de continuer le parapente en parallèle de l’activité de moniteur.
      N’hésite pas à me contacter pour tout autre renseignement.
      Bonne soirée !
      Rodolphe

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